Dans le cadre des recherches effectuées à l'Institut de Paléontologie Humaine du Muséum National d'Histoire Naturelle de Paris sur les vertébrés quaternaires d'Afrique du Nord, une étude approfondie sur la systématique des équidés, a révélé la présence de deux nouvelles espèces dans le continent africain. La première espèce représente un vrai cheval de provenance eurasiatique, jamais signalée auparavant en Afrique au cours du Pléistocène, la deuxième concerne la présence d'un asinien, légèrement plus grand que l'âne actuel dont les caractéristiques morphologiques se rapprochent de celles des ânes de l'Afrique septentrionale de la fin du Pliocène.
Considérant l'importance d'une telle découverte au niveau continental, le professeur Piveteau, membre de l'Institut, proposa sa publication à l'Académie des Sciences de Paris. La détermination de ces deux nouveaux taxons, a permis de faire une révision sur l'ensemble des équidés du Maghreb et du Moyen-Orient. Des implications d'ordre anatomique, paléoécologique et climatique sont données.
Présent au sein de mon jury de thèse, le Professeur Coppens, membre de l'Institut, proposa la présentation d'un article à l'Académie des Sciences. Cet article retrace à partir des nouvelles déterminations anatomiques et adaptatives, l'histoire morpho-fonctionnelle, paléoécologique et phylogénétique de ces bovidés.
Le Kob, en tant qu'espèce fossile n'existait en Afrique du Nord qu'au niveau du Pléistocène moyen. Sa dernière mention publiée par d'autres auteurs, est représentée dans le gisement de Ternifine, site algérien du Paléolithique inférieur à Homo erectus. Sa présence dans le gisement atérien des Phacochères par un massacre bien conservé, montre que cette espèce ne s'était pas éteinte à la fin du Pléistocène moyen. Le Kob de Ternifine pourrait donc représenter son ancêtre direct.
De nouvelles recherches ont été effectuées sur des anciens sites mis au jour par des préhistoriens et paléontologues français. Ces nouvelles missions ont été mises en place en tant que responsable de la section de Préhistoire et Maître assistant à l'université d'Alger, révélèrent l'importance de la poursuite des fouilles de l'un des plus importants sites d'Afrique du nord. Les sondages pratiqués à cette occasion dans le gisement de l'Aïn-Hanech, sous la direction de Mohamed Sahnouni ont permis de récolter une industrie sur galets ainsi que des restes dentaires de chevaux. Cette note a été présentée à la Société Préhistorique Française par le Professeur Coppens.
Les interprétations morpho-fonctionnelles et paléoécologiques relevées sur les bovidés quaternaires et soulevées plus haut, ont été mises en évidence sur le squelette des membres. L'analyse des deux premières vertèbres cervicales (atlas et axis) du boeuf, du bison et du buffle (en collaboration avec F. Serre) a corroboré celle effectuée sur d'autres parties anatomiques
Comme pour les équidés et les bovidés, les cervidés du gisement atérien des Phacochères, par leur effectif et l'excellente conservation des chevilles osseuses de bois sont uniques en leur genre dans tout le Quaternaire maghrébin. Son étude basée sur le matériel crânien et dentaire a permis de redonner une nouvelle diagnose en modifiant sa position systématique et en confrontant les critères diagnostiques avec ceux des espèces européennes et asiatiques. Cette importante contribution a été prise en considération par bon nombre d'auteurs et citée comme article de référence concernant le sous-genre Megaceroides.
L'équipe de recherche sur le Yémen (CNRS, Collège de France, Michel Alain Garcia), dirigée par le Professeur Coppens, et travaillant sur les gravures rupestres en contexte d'habitat néolithique et Age du Bronze, m'a sollicité pour l'analyse de la faune des vertébrés tout au long des campagnes de fouilles. Ma contribution en tant que paléontologue et archéozoologue, a montré que les vestiges osseux des grands bovinés, correspondaient à ceux représentés sur les parois et déterminaient du même coup le rapprochement morphologique avec les buffles fossiles du Maghreb, peints eux aussi sur les nombreuses grottes et abris sous-roches du Tassili des Ajjers en Algérie.
Il s'agit de la première publication synthétique sur les faunes de vertébrés du plateau de Lomboyau dans le département du Val-de-Marne. Les sites de la ZAC de Rungis les Antes, de la ZAC des Hautes-bruyères et la sablière Bervialle à Villejuif ainsi que la A.86 à Thiais ont montré les différentes pratiques productives et les orientations économiques des cheptels. Les techniques d'abattage, les variations de la stature et la réduction des activités de chasse sont mentionnées.
Cet article fait suite à celui publié en 1984 sur les deux nouvelles espèces d'équidés. Dans ce travail, il est question du seul équidé caballin Equus algericus. Afin de connaître sa répartition paléogéographique et biostratigraphique, plusieurs collections ont été réexaminées (Muséum de Paris, Institut de Paléontologie Humaine de Paris, Laboratoire d'Archéologie de Cambridge, CRAPE à Alger et Muséum d'Oran). Cette espèce d'origine eurasiatique a fait son introduction en Afrique du Nord lors de la dernière glaciation du Würm en empruntant le couloir de migration le long du golfe de la Syrte. Ses restes n'ont été trouvés avec certitude que dans les sites du Pléistocène supérieur du Maghreb.
L'étude taphonomique des faunes du gisement atérien des Phacochères situé sur les hauteurs d'Alger a été faite expressément en dernier lieu, une fois l'étude taxonomique achevée dans son ensemble. Elle a montré clairement qu'à l'inverse de tous les mammifères présents dans le site, les phacochères n'ont pas été chassés. Les courbes de mortalité ainsi que l'étude de distribution des parties anatomiques ont révélé qu'ils sont morts naturellement ou tués par d'autres prédateurs.
Une importante découverte a été faite sur un squelette adulte de sexe masculin provenant de la nécropole de Chevilly-Larue : L'existence d'une plaque pleurale calcifiée et ossifiée dans l'hémi-thorax droit de cet individu. L'étude de la plaque par scanographie et reconstruction tridimensionnelle et la présence de 3 côtes brisées et reconsolidées, montrent que la calcification pleurale serait d'origine post-traumatique, due probablement à un hémothorax.
Les fouilles réalisées dans la commune de Thiais lors de la construction de l'autoroute A86 ont mis en évidence un ensemble de fosses-silos, datant du Premier Age du Fer. Dans la structure 8, outre du mobilier céramique, des objets en bronze décorés et une faune mammalienne, un squelette humain nouveau-né fut découvert, mélangé à tous ces restes. L'étude macroscopique, microscopique et radiographique de ce bébé, a révélé la présence d'une tréponématose vénérienne. A la suite de cette étude, j'ai présenté ces résultats au colloque sur les Epidémies d'hier à aujourd'hui qui s'est tenu à la faculté de médecine de Marseille.
La forte mortalité infantile et enfantine dans le cimetière médiéval d'Ivry-Parmentier a mis l'accent sur deux aspects importants. Le premier concerne une répartition inhabituelle des âges au cours du Moyen-Age, dont les trois quarts de la population n'ont pas dépassé les 18 ans. Le deuxième aspect met le point sur les causes éventuelles des décès de cette population. Parmi ces affections, on retrouvera les anémies hémolytiques et le rachitisme.
Les fouilles archéologiques réalisées dans le cadre du projet Seine-Amont en 1995 sur les bords de Seine et notamment à Ivry, ont mis en évidence des sépultures doubles et individuelles datées du Néolithique moyen et final en relation avec un habitat et un contexte paléoenvironnemental de fond de vallée.
La réalisation d'un chantier de travaux publics à Maisons-Alfort, en bord de Marne, a permis la mise au jour d'un gisement du Paléolithique moyen. Le matériel présente une industrie lithique à débitage levalloisien et des vestiges d'une faune de grands mammifères portant des traces d'activité humaine. L'analyse micromorphologique du niveau archéologique a révélé plusieurs surfaces d'activité anthropisées bien conservées qui traduisent une occupation répétée.
Dans cet article, il est fait mention d'une étude comparative de deux calcifications de nature pathologique retrouvées sur deux individus provenant de nécropoles médiévales d'Ile-de-France. Il s'agit pour les deux cas de plaques pleurales. Dans la première nécropole (cimetière royal de la basilique de Saint-Denis), la plaque pleurale a été analysée par spectrographie à infra-rouge, outre l'examen macroscopique. La substance minérale montre une association de carbapatite et de whithlockite et serait de nature infectieuse ou parasitaire. Dans la seconde (église de Chevilly-Larue), la plaque a été analysée par scanographie et reconstruction tri-dimensionnelle. La présence de plusieurs côtes fracturées au niveau de l'hémi-thorax droit montre que la calcification pleurale serait d'origine post-traumatique.
Est présenté ici le compte-rendu des résultats de la fouille d'évaluation de l'habitat du cimetière médiéval de Chevilly-Larue. 34 sépultures ont été fouillés dans des niveaux d'occupation datant entre le XIIè et le XIVè siècle.
Les résultats de l'étude anthropologique et paléopathologique des sépultures chasséennes et Seine-Oise-Marne retrouvées lors des fouilles préventives des bords de Seine, ont montré encore une fois que le matériel biologique exhumé des fouilles dans ce département se révèle d'une importance capitale pour la compréhension des mouvements migratoires des populations, leurs paléoenvironnements, leurs conditions sanitaires et la connaissance des pratiques funéraires. Les datations C14 sont parmi les plus anciennes du Néolithique d'Ile-de-France.
Ce travail fait suite à une longue recherche personnelle sur la biodynamique du crâne, ses déséquilibres cranio-faciaux et dentaires, les différentes classes d'occlusion, analysées sur le matériel biologique provenant des différentes nécropoles du Val-de-Marne. L'analyse architecturale du crâne par le biais de la téléradiographie et l'analyse paléopathologique du crâne et du rachis, ont montré une étroite corrélation. En effet, les malformations et déformations du rachis ont retenti sur la base du crâne donnant lieu à une asymétrie soit de la face soit du basicrâne, parfois les deux phénomènes s'y présentent.
Les travaux que j'ai effectués sur la biodynamique cranio-faciale ont abouti également à des études auxquelles l'anthropologie traditionnelle ne consacre pas de recherches poussées. Les différentes formes de craniosténoses existantes, anciennes et actuelles, ont fait l'objet de ce travail comparatif. L'analyse téléradiographique comparée est abordée ici entre les craniosténoses du vivant, patients présentant souvent des maladies génétiques, familiales et héréditaires et celles des séries du Moyen Age. Ces dernières concernent surtout des dysostoses cranio-faciales (oxycéphalie, scaphocéphalie) avec atteinte dentaire, du rachis et du squelette appendiculaire.
Il s'agit d'une communication que j'ai présentée au congrès d'Afrique du Sud à Sun-City, Province du Nord-Ouest et dirigé par le paléoanthropologiste P.Tobias. Dans cette communication, je fais part des toutes dernières technologies numérisées appliquées aux crânes et aux rachis, d'après le matériel provenant des populations historiques du Val-de-Marne.
La découverte des restes de chevaux pléistocènes moyen à Maisons-Alfort a permis de replacer l'espèce caballine parmi les espèces d'Europe occidentale et de voir ses affinités.
La découverte en 1996 d'un crâne et de plusieurs autres restes osseux humains juvéniles et adultes dans les niveaux ibéromaurusiens de la grotte de Taza 1, nous a permis de l'étudier sous plusieurs angles (Paléoanthropologie, paléopathologie osseuse et dentaire, reconstitution faciale par informatique). Ces études nous ont montré que le crâne de cette femme a connu une luxation mandibulaire et une asymétrie faciale (sagittale et verticale), basicrânienne et unilatérale de la voûte.
Comme le crâne de Taza, les chercheurs algériens nous avaient confié ce crâne pour une étude similaire et par les mêmes procédés. Celui-ci a bénéficié, en plus des autres méthodes, d'une reconstitution sculptée par les services de la Gendarmerie de Rosny-Sous-Bois ; ce buste a été installé sur un présentoir. Nous l'avons offert aux autorités scientifiques du Centre National de Recherches anthropologiques et préhistoriques d'Alger, suivi d'une étude appliquée très documentée.
Parce que les questions relatives aux éthiopathogénies des dysharmonies cranio-faciales sont nombreuses et complexes et touchent à plusieurs domaines (hérédité, troubles métaboliques, troubles fonctionnels, tumeurs, traumatismes, dysostoses, complication obstétricale), je les ai étudiées sous plusieurs angles afin de ne négliger aucun paramètre ni aucune fonction (paléontologie, anatomie fonctionnelle, morphogenèse, orthodontie, relation avec les anomalies de l'ensemble des étages de la colonne vertébrale.
A l'occasion du colloque de Créteil, nous avons actualisé nos références portant sur les hominidés plus ou moins anciens de l'Afrique du Nord et dressé les éventuelles espèces du Genre Homo qui ont manufacturé le matériel lithique d'Ain Hanech et chassé ou récupéré les faunes mammaliennes qui vivaient autour du Bassin sétifien à la fin du Pliocène et au début du Pléistocène.
Cet article a été rédigé pour la revue AOS, pour les thérapeutes dentistes et orthodontistes à la demande de son directeur. Il fait part de l'équilibre et du déséquilibre crâniens, influençant l'occlusion. Plusieurs exemples provenant de populations historiques et préhistoriques sont mentionnés, montrant les relations évidentes entre la malocclusion et tous les types de dysharmonies cranio-faciales.
J'ai été invité par Evelyne Crégut, paléontologue organisatrice du Premier Congrès de Paléontologie d'Avignon à présenter mes résultats sur certains vertébrés mammaliens tels que les équidés, les bovinés et les Tragélaphinés. A cette occasion, j'avais présenté les relations qui existaient entre Equus algericus et les chevaux quaternaires du Bassin méditerranéen.
Concernant les Bovinés et les Tragélaphinés, j'avais montré dans ce congrès, les découvertes récentes de restes de buffles et leur nouvelle classification au sein de la complexe systématique des Bovini. Quant aux restes des Tragélaphinés, une étude critique a été suivie entre les genres Tragelaphus et Taurotragus.
Programmation d'une base de données en craniologie biodynamique et odontologie en relation avec le rachis (Paléoanthropologie, paléopathologie, anomalies, troubles de la denture...).
Cet article résume l'ensemble des recherches sur le site de l'Ain Hanech depuis 1992. De nouvelles hypothèses biostratigraphiques et biochronologiques sont mentionnées en particulier, la présence de dents jugales de Equus numidicus du Villafranchien inférieur, de Pelorovis moghrebiensis et de Kolpochoerus cf. limnetes. Ces 3 taxons mais surtout Equus et Kolpochoerus confortent l'âge donné par le paléomagnétisme.
Cet article a été rédigé à la demande d'un numéro spécial sur les hyènes sous la direction de Philippe Fosse. Après avoir inventorié les restes des deux principales hyènes (Crocuta crocuta-la hyène tachetée-et Hyeana hyeana-la hyène rayée) dans les gisements plio-quaternaires et quaternaires du Maghreb, je fais une étude critique de la genèse du site des Phacochères que l'on peut considérer comme un site préhistorique à hyènes où précisément cohabitent une concurrence entre hominidés chasseurs/récupérateurs et prédateurs/charognards.
El Kherba est situé à 400 m au sud du classique site d'Ain Hanech. Les mêmes caractéristiques sédimento-chronologiques se retrouvent dans ce site, corrélé à l'unité T. La faune et les analyses paléomagnétiques indiquent le subchron olduvai.
Cet article concerne l'étude biodynamique des crânes des hommes d'Afalou. Un trentaine de spécimens a suivi une analyse téléradiographique et architecturale. Des troubles dentaires de la croissance, des malformations cranio-faciales notamment un certain nombre d'asymétries et des pathologies alvéolo-dentaires sont mises en évidence.
A la suite d'une étude cladistique réalisée sur les Bovini africains pléistocènes en 1985, il s'est avéré que Pelorovis antiquus est en réalité comme l'ensemble des buffles du Pléistocène supérieur du Maghreb, un Syncerus. Le spécimen du gisement atérien des Phacochères en est une variété sub-spécifique.
Il s'agit de la première publication synthétique sur les faunes de vertébrés du plateau de Lomboyau dans le département du Val-de-Marne. Les sites de la ZAC de Rungis les Antes, de la ZAC des Hautes-bruyères et la sablière Bervialle à Villejuif ainsi que la A.86 à Thiais ont montré les différentes pratiques productives et les orientations économiques des cheptels. Les techniques d'abattage, les variations de la stature et la réduction des activités de chasse sont mentionnées.
Une expérience commune dans des travaux d'analyse architecturale cranio-faciale, d'odontologie et d'anomalies de développement entre des effectifs fossiles et l'actuel.
Résultats d'un sujet de thèse que j'avais proposé à mademoiselle Cho et dirigé sur les déséquilibres architecturaux dans une population du bas Moyen Age à forte tendance ultra brachycéphale.
C'est à la demande du Centre d'Etudes d'Ostéopathie, de Posturologie et Sciences Annexes de Toulouse que cette communication fut présentée. Il est fait mention d'association entre les asymétries posturales (squelette locomoteur, rachis) et les asymétries basicrâniennes et occlusales.
L'article traite de l'ensemble des variations anatomiques de la hanche et du genou (traumatismes, malformations génétiques, anomalies congénitales ...) analysées sur les squelettes de nécropoles médiévales.
C'est à la demande du Collège National d'Occlusodontologie sur le thème des asymétries que cette communication fut présentée à Bordeaux.
La présence d'un crâne sub-complet de buffle dans les nouvelles fouilles de l'Ain Hanech, dirigées par Sahnouni a relancé davantage les missions opérées sur ce site. L'étude, que j'ai menée sur ce crâne en comparaison avec l'ensemble des bovinés d'Afrique et d'Eurasie et en raison des caractéristiques morphologiques typiques de ce spécimen, m'a conduit incontestablement à créer une nouvelle espèce dans la lignée de Pelorovis oldowayensis dénommée P. howelli en hommage au professeur Clarck Howell.
Communication dans le colloque de paléontologie et d'odontologie que j'ai organisé à Créteil en 2006. L'architecture cranio-faciale est présentée dans ses tendances normales, anormales et pathologiques, basée sur les populations archéologiques du bassin parisien et leur comparaison avec les populations contemporaines.
Résultats d'un sujet de thèse que j'avais proposé à mademoiselle Carré sur les dysmorphoses dento-squelettiques chez des populations médiévales provenant de plusieurs nécropoles du Val de Marne.
Résultats d'un sujet de thèse que j'avais proposé à mademoiselle Carré et dirigé sur les trajectoires de croissance cranio-faciale en relation avec les dysmorphoses chez des populations franciliennes actuelles et leur comparaison avec des populations médiévales de même territoire.
D'autres Résultats du sujet de thèse que j'avais proposé à mademoiselle Cho sur les déséquilibres architecturaux dans une population du bas Moyen Age à forte tendance ultra brachycéphale.
Résultats d'un sondage réalisé par des étudiants en dernière année de chirurgie dentaire. Enquête réalisée en Ile de France.
Résultats d'un sondage réalisé par des étudiants en dernière année de chirurgie dentaire. Enquête réalisée à Paris.
Résultats d'un sujet de thèse que j'avais proposé à deux étudiants en chirurgie dentaire sur les différentes infections bucco-dentaires chez une population médiévale à Ivry sur Seine.
Résultats d'un sujet de thèse que j'avais proposé à un étudiante en chirurgie dentaire et dirigé sur les infections bucco-dentaires chez trois population médiévales dans le Val de Marne.
C'est à la demande du l'Institut toulousain d'Ostéopathie, de Posturologie et Sciences Annexes que cette communication fut présentée. Il traite d'une synthèse historique de la morphogenèse et de l'architecture cranio-faciale depuis les travaux de Leroi-Gourhan en passant par ceux de Delattre et Fenart. Une synthèse plus globale sera présentée dans un ouvrage à collaborateurs en 2009.
Des analyses microbiologiques sur la pulpe dentaire de plusieurs individus inhumés dans un cimetière du XVIIème à Saint-Maurice ont montré la présence du bacille pesteux. C'est le premier cimetière de pestiférés identifié dans le Nord de la France.
Des analyses microbiologiques ont été effectuées sur la pulpe dentaire de la momie de Thomas Craven. Ce jeune noble anglais, mort à 18 ans à Paris a été inhumé dans un sarcophage en plomb dans le temple protestant de Charenton. Les résultats ADN ont montré qu'il est mort de la peste.